Je considère en effet que le principe de confiance doit prévaloir non seulement dans les rapports sociaux, mais, a fortiori, entre la puissance publique et les acteurs de la vie socio-professionnelle. Nous devons passer de la convocation à la consultation, du monologue à la concertation, de l’écoute distante à la négociation : telle sera mon approche, d’autant plus impérieuse que les défis à relever sont nombreux, dans un contexte économique difficile, qui suscite autant de craintes que d’attentes légitimes chez nos compatriotes.