L’Éducation nationale a reconnu le 11 décembre « l’imputabilité au service » du suicide de Christine Renon, directrice de maternelle, c’est-à-dire son lien avec l’organisation institutionnelle du travail. Le ministère doit aujourd’hui prendre ses responsabilités sur la dégradation des conditions de travail des personnels et les risques psychosociaux auxquels ils sont exposés.